« Pirelli » dévoile les coulisses du Calendrier 2019 réalisé par Albert Watson !!
Pirelli et Albert Watson ont choisi New York & Miami comme lieux de shootings, en avril 2018 !!
JOUR 1 : Misty Copeland et Calvin RoyalMisty joue le rôle d’une danseuse dans un club de strip-tease du centreville.
Elle danse pour gagner sa vie et a un petit ami (Calvin).
Ils vivent dans une petite maison déco et partagent le même rêve de devenir danseurs étoile.
JOUR 2 : Laetitia Casta et Sergei PoluninLaetitia joue le rôle d’une artiste-peintre qui rêve de son avenir.
Elle vit dans un loft funky du centre-ville et vit avec son petit ami (Sergei) qui est danseur.
JOUR 3 : Julia Garner et Astrid EikaJulia joue le rôle d’une photographe qui travaille dans un jardin botanique qui photographie des plantes rares et rêve de devenir une photographe portraitiste bien établie.
JOUR 4 : Gigi Hadid et Alexander WangGigi joue le rôle d’une femme riche et prospère, elle semble avoir tout réussi mais elle reste malheureuse.
Elle ne se sent en sécurité que dans son havre de bonheur, un appartement à New York, où elle reçoit le soutien de son meilleur ami/confident (Alexander).A PROPOS DE ALBERT WATSON
Depuis son début de carrière en 1970, Albert Watson s’est imposé parmi les photographes les plus couronnés de succès et les plus prolifiques au monde en associant l’art, la mode et la photographie commerciale à certaines des images les plus emblématiques de l’histoire. Qu’il s’agisse des portraits d’Alfred Hitchcock et de Steve Jobs, des portraits de Kate Moss, des paysages de Las Vegas et des natures mortes d’antiquités du Roi Toutankhamon, la diversité de son portfolio est sans précédent. Ses photographies impressionnantes et les superbes tirages qu’il développe lui-même figurent dans les galeries et les musées du monde entier. Le magazine de référence de la photographie, Photo District News, l’a désigné comme l’un des 20 photographes les plus influents de tous les temps, avec Irving Penn et Richard Avedon, entre autres. Watson a remporté de nombreuses distinctions, notamment un prix Lucie, un Grammy, trois prix Andy, un prix Der Steiger, un prix Hasselblad Masters et la médaille du centenaire, une distinction décernée par la Royal Photographic Society britannique en reconnaissance d’une vie remarquable. En juin 2015, la reine Élisabeth II a remis à l’Écossais un Ordre de l’Empire britannique (OBE) en reconnaissance des services qu’il a rendus durant toute sa carrière à l’art de la photographie. Durant sa carrière, les photographies d’Albert Watson ont figuré plus de cent fois sur la couverture des éditions internationales de Vogue et dans de nombreux autres magazines, comme Rolling Stone, Time et Harper’s Bazaar : il a réalisé des photos de mode ou des portraits emblématiques de stars du rock, de rappeurs, d’acteurs et d’autres célébrités. Il a également signé les images photographiques de centaines de campagnes publicitaires pour des grandes entreprises, comme Blumarine, Prada, Gap, Levi’s, Revlon et Chanel. Il est l’auteur de douzaines d’affiches de films Hollywoodiens comme « Kill Bill » ou « Mémoires d’une geisha » et a aussi dirigé plus de 100 publicités télévisuelles. Albert Watson a consacré une grande partie de son temps à des projets artistiques pour des expositions de musées et de galeries d’art, mettant en vedette ses célèbres portraits et photographies de mode ainsi que des clichés forts issus de ses voyages et intérêts personnels, tel qu’un charmeur de serpents au Maroc, une dominatrice à Las Vegas ou les montagnes spectaculaires de l’île de Skye en Écosse. Il a publié cinq livres : « Cyclope » (1994, Éditions du Collectionneur) ; « Maroc » (Rizzoli, 1998) ; « Albert Watson » (Phaidon, 2007) ; « Strip Search » (PQ Blackwell/Chronicle 2010) et « UFO: Unified Fashion Objectives » (PQ Blackwell/Abrams 2010.) Son dernier livre « Kaos », a été publié par Taschen à l’automne 2017. En outre, de nombreux catalogues de ses photographies ont été publiés dans le cadre d’expositions de musées et de galeries d’art. Depuis 2004, le Musée d’art moderne de Milan, en Italie, le KunstHausWien de Vienne, en Autriche, le City Art Center d’Édimbourg, en Écosse, le FotoMuseum d’Anvers, en Belgique, le NRW Forum de Düsseldorf, en Allemagne, le Forma Galleria de Milan, le Fotografiska de Stockholm, en Suède, et le Multimedia Art Museum de Moscou, en Russie, ont accueilli des expositions consacrées à Albert Watson. L’année 2013 a vu une grande rétrospective de sa carrière présentée aux Deichtorhallen d’Hambourg, en Allemagne, et comportant une nouvelle oeuvre réalisée au Bénin, en Afrique. Les photographies d’Albert Watson ont également été présentées dans de nombreuses expositions collectives de musées, notamment à la National Portrait Gallery de Londres, au Metropolitan Museum of Art de New York, au musée des beaux-arts Pouchkine de Moscou, au musée de la photographie de Lianzhou en Chine, à l’International Center of Photography à New York, au Brooklyn Museum et aux Deichtorhallen. Ses photographies figurent notamment dans les collections permanentes de la National Portrait Gallery, du Metropolitan Museum of Art, du Smithsonian, du Parlement écossais, du Deichtorhallen, du Multimedia Art Museum et du Museum Folkwang à Essen, en Allemagne. Né et élevé à Édimbourg, en Écosse, Albert Watson étudie le graphisme à Duncan of Jordanstone College of Art and Design à Dundee ainsi que le cinéma et la télévision au Royal College of Art de Londres. Bien que non-voyant d’un oeil depuis sa naissance, il apprend la photographie dans le cadre de ses études. En 1970, il s’installe aux États-Unis avec son épouse, Elizabeth, qui travaille comme professeur d’école primaire à Los Angeles, où il se met à pratiquer la photographie principalement comme loisir. Plus tard cette année-là, il rencontre un directeur artistique de Max Factor qui lui propose alors sa première séance photographique d’essai, dont la société achète deux clichés. Son style distinctif attire l’attention de magazines de mode américains et européens comme Mademoiselle, GQ et Harper’s Bazaar, qui lui proposent alors une séance avec Alfred Hitchcock, la première célébrité qu’il photographie. Peu de temps après, Albert Watson commence à faire la navette entre Los Angeles et New York et, en 1975, il remporte un Grammy pour la pochette de l’album Mason Proffit « Come and Gone ». Sa carrière est lancée en 1976 quand il décroche son premier emploi pour Vogue et déménage à New York. Watson a toujours été accro au travail. Des millions d’images et de négatifs sur lesquels on peut lire le nom de magazines et de sociétés de renommée mondiale sont archivés dans son studio à Manhattan. Ce studio, qui lui sert également de galerie personnelle, contient des photographies au format extrêmement grand, dont beaucoup ont été prises à Las Vegas. À première vue, la gamme de couleurs douces et tamisées de ces paysages, intérieurs et portraits surprennent le spectateur. Mais, même dans ses nouvelles créations, Albert Watson reste fidèle à lui-même. Les photographies créent une aura qui entraîne le spectateur dans l’image tout en imposant simultanément une distance respectueuse. Le langage visuel d’Albert Watson suit ses propres règles et concepts de qualité. Avec leur éclat, leur sentiment d’urgence, leur grandeur même, ses photographies se détachent clairement du monde des images d’aujourd’hui. Sa manière d’éclairer les sujets, surtout les objets fétichistes et les portraits, engendre une atmosphère presque méditative. Watson est sans aucun doute un artiste dont la vision photographique unique enrichit grandement notre perception. Bien que la grande variété de ses images reflète une polyvalence sans effort, leur puissance et leur virtuosité technique permettent néanmoins de les reconnaître comme des photographies d’Albert Watson, qu’il s’agisse d’un cliché de forêt en Écosse, d’une robe Yohji Yamamoto d’un top model, d’un gros plan sur la combinaison spatiale portée sur la lune par l’astronaute Alan Shepard ou du portrait emblématique en noir et blanc de Steve Jobs. Cet engagement résolu envers la perfection a fait de lui un des photographes les plus recherchés au monde.www.pirelli.com & www.pirellicalendar.com
Crédits photos : Albert Watson & Pirelli
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